L’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) poursuit sa démarche pour répondre efficacement aux besoins des consommateurs togolais. Le régulateur améliore la qualité de son service, conformément aux standards internationaux.
Face à une population qui demande plus d’offres accessibles à leurs bourses en ce qui concerne les communications électroniques et des réseaux mobiles, à l’instar des pays voisins, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes reste convaincue qu’une qualité de son service s’impose. La démarche d’amélioration de la qualité du service de l’Arcep est constituée de deux différentes phases.
La première étape concerne la mise en place de 3 prérequis. Cette étape permettra de garantir la fiabilité et la crédibilité de la campagne de mesure de la qualité de service du régulateur.
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Dans le détail, le premier prérequis concerne l’adoption d’un protocole de mesure de la qualité de service répondant aux normes internationales. Le deuxième est relatif à la refonte des indicateurs et des seuils de qualité de service qui fait également l’objet de l’appel public à commentaires du 8 au 22 janvier. L’objectif de cette refonte, indique l’Arcep, est de récolter les avis des parties prenantes et des associations de consommateurs.
En troisième position, il est question de l’acquisition des outils de mesure de la qualité de service sur les réseaux mobiles. Pour ce faire, l’Autorité de régulation a opté depuis le 17 décembre 2020 pour l’outil de dernière génération Xcal Pu 12. Avec cet outil, l’Arcep est le premier régulateur en Afrique de l’ouest à acquérir 2 chaînes de mesure (collecte, traitement et analyse) de la couverture et de la qualité de service offertes par les opérateurs de téléphonie sur les réseaux 2G,3G, 4G et 5G.
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