Cette sollicitation, une première du genre pour un pays d’Afrique francophone, vise à diagnostiquer l’environnement institutionnel national, afin d’améliorer le climat des affaires, la transparence publique et l’efficacité de l’action étatique. Dans les détails, le processus d’évaluation portera sur plusieurs piliers de la gouvernance, comme la lutte contre la corruption, la transparence budgétaire, la gestion des finances publiques, ou encore le cadre juridique des affaires.
En outre, des aspects critiques comme la déclaration des biens, les procédures de passation des marchés publics, et l’indépendance des organes de contrôle et de sanction, seront également scrutés. Pour le Togo, l’ambition est claire : identifier les priorités de réforme, combler les écarts par rapport aux standards internationaux, et asseoir des fondations solides pour une gouvernance plus vertueuse.
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