Droits en santé sexuelle et reproductive : les députés renforcent leur engagement

Les élus du peuple, au-delà de leur mission de contrôle de l’action gouvernementale, s’intéressent aux questions de santé et de bien-être des populations. Une séance d’échange sur les droits en santé sexuelle et reproductive (DSSR) s’est ouverte dans ce sens le mercredi 27 août à Kpalimé.

Organisée avec l’appui de la Direction de la santé de la mère et de l’enfant (DSME), en partenariat avec l’Association togolaise pour le bien-être familial (ATBEF) et Ipas Afrique Francophone, cette rencontre qui prend fin ce vendredi 29 août, vise à renforcer la compréhension des députés et leur engagement en matière de DSSR. L’objectif est de promouvoir un environnement législatif favorable à l’accès aux services de santé sexuelle et reproductive au Togo.

« Le rôle du parlement, au-delà du vote des lois, consiste à anticiper les besoins des concitoyens, à garantir l’effectivité de leurs droits, et à créer les conditions d’un développement humain durable. En matière de DSSR, cela signifie qu’il faut promouvoir un environnement juridique qui protège, qui informe, qui accompagne et qui ne stigmatise pas», a souligné le directeur de cabinet, Kissao Tchourou, représentant le Président de l’Assemblée nationale.

En outre, la mortalité infanto-juvénile (moins de 5 ans) a régressé de 71 décès pour 1000 naissances vivantes en 2017 à 58 en 2022. Quant à la mortalité maternelle, elle a diminué de 478 pour 100.000 naissances vivantes en 1998 à 401 en 2013, puis à 362 pour 100.000 en 2023.

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