Le président réélu à la tête du Togo le 22 février dernier vient de prendre officiellement fonction. Faure Gnassingbé a en effet prêté serment hier pour un nouveau mandat de cinq ans. Inutile de dire que ce dernier poursuivra ses œuvres en faveur de l’émergence du pays.
C’est dans une ambiance particulière marquée par les contraintes imposées par la pandémie du coronavirus que le président élu a prêté serment. Réception du drapeau national, prestation du serment proprement dit, exécution de l’hymne national, remise des armoiries, discours du président de la Cour constitutionnelle Abdou Assouma, tout était au rendez-vous.
« Le suffrage universel a décidé. Il n’y a donc plus personne pour s’y opposer. Si d’aventure, par mégarde ou étourderie, quelqu’un s’y oppose, la force doit rester à la loi », a affirmé le président de la Cour constitutionnelle, qui a clairement fait comprendre que le temps de la contestation est passé. En d’autres termes, la récréation est terminée, chacun doit rester à sa place. Qu’on soit un certain monseigneur Kpodzro ou quelque personnalité que ce soit, l’on répondra de ses actes. En tout cas comme l’a rappelé Abdou Assouma, Faure Gnassingbé a « mouillé le maillot ». « Votre triomphe est le fruit de votre dynamisme, jeunesse, détermination ».
Avec les avancées que notre pays a connues, le peuple togolais qui a suivi Faure Gnassingbé à la trace selon le président de la Cour, ne peut qu’aimer et avoir confiance en ce dernier. Le peuple a donc choisi de continuer sur cette lancée. Et sans aucun doute, l’on devra s’attendre à de plus grandes réalisations dans les mois et années à venir.
« Dans un avenir proche, vous verrez, on parlera peut-être du miracle togolais », a déclaré le président Assouma. C’est en tout cas la vision du Plan national de développement (PND 2018-2022). Faure Gnassingbé et son équipe ne vont certainement pas s’y écarter.
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